Récolte 2025 : les agriculteurs de Haute-Carinthie sont aux prises avec des conditions changeantes !
Bilan des récoltes pour la Haute-Carinthie 2025 : résultats mitigés pour les agriculteurs en raison des conditions météorologiques extrêmes, de la sécheresse et des ravageurs. Détails et avis d'experts.

Récolte 2025 : les agriculteurs de Haute-Carinthie sont aux prises avec des conditions changeantes !
L’année de récolte 2025 a été mitigée pour les agriculteurs de Haute-Carinthie. L'été, caractérisé par un mois de juin chaud et sec, a présenté des défis à de nombreuses entreprises. Les pluies tant attendues, qui ne sont arrivées qu’en juillet, ont souvent apporté de fortes pluies et de la grêle. Selon le Petit journal Les ravageurs du sol ont également contribué aux problèmes des agriculteurs qui ont souffert des conditions météorologiques difficiles.
La récolte du maïs ensilage et du maïs grain est classée « satisfaisante ». Dans certaines régions, la satisfaction des retours prévaut, malgré les conditions de départ difficiles. Néanmoins, les experts recommandent de souscrire une assurance contre les dommages causés par la sécheresse ou la grêle afin de mieux amortir les mauvaises récoltes futures.
Le bilan global de la récolte céréalière
Les rendements varient considérablement et la qualité du blé d'hiver, particulièrement demandé, souffre dans de nombreuses régions en raison des précipitations parfois intenses pendant la saison des récoltes. Le volume de récolte a atteint 21,7 millions de tonnes, soit une augmentation par rapport aux 17,8 millions de tonnes de l'année dernière. Cette croissance est due à l’amélioration des rendements par hectare et à l’augmentation des superficies.
Problèmes et défis de qualité
La situation du marché reste tendue : les coûts des intrants augmentent et il existe des problèmes de maladies et de ravageurs, notamment dans la culture des pommes et de la laitue. Le président de DBV, Joachim Rukwied, décrit la récolte comme un « événement tremblant », qui n'a pas été facile en raison des précipitations dominantes. Pour de nombreuses entreprises, les changements dans le paysage juridique représentent une charge supplémentaire qui met en danger la compétitivité de l’agriculture.
Alors que la récolte des fruits et légumes affiche des résultats mitigés, il reste difficile pour les agriculteurs de s'adapter au marché. Certaines cultures, comme les pommes de terre primeurs et les cerises, bénéficient de bons rendements, tandis que d'autres zones souffrent de conditions moyennes. Les cultures d'automne comme le maïs et les betteraves sucrières en particulier peuvent bénéficier des dernières précipitations.
Dans l’ensemble, le bilan des récoltes montre que, malgré les difficultés, de nombreux agriculteurs des deux régions sont disposés à s’adapter et à surmonter dans une certaine mesure les défis actuels. Les prochains mois montreront comment les marchés évoluent dans les conditions actuelles. Il reste passionnant de voir comment les agriculteurs peuvent continuer à bien gérer leurs récoltes.